Un café solidaire , équitable et respectueux de l’environnement pour les invités de l’été !!

Ces capsules sont faites à partir de matières naturelles et de déchets agroalimentaires, plus précisément d’écorces de graines de tournesol et d’un dérivé de déchet du maïs. Compostable chez vous dans votre compost domestique, ces capsules se dégradent dans un délai de 6 mois à 1an.

Situé dans le berceau originel du café au Sud de l’Ethiopie, c’est au sein d’une large réserve naturelle de plus de 100 000 hectares, que les producteurs de l’Union de coopératives de Bench Maji cueillent notre café de forêt. Ce projet permet la conservation d’une zone exceptionnelle de biodiversité végétale, hôte de nombreuses espèces de singes et d’oiseaux qui profitent de ce milieu préservé. L’activité économique générée par le café, alliée à des pratiques agricoles minimalistes de simple cueillette où les paysans sont en parfaite symbiose avec leur milieu naturel est gage sur le long cours de la protection de ces forêts ancestrales.
Norandino est une union de coopératives agricoles créée en 2005. Elle met en commun la récolte de 20 groupements de producteurs, leur donnant ainsi accès à des infrastructures modernes de transformation. Norandino agit sur le plan environnemental à travers un programme de reforestation. Une replantation sur des cycles longs est menée sur des terres peu fertiles, en amont des plantations de café, par des populations vulnérables qui y trouvent un soutien économique important. Le café est cultivé en agroforesterie, à l’ombre des arbres fruitiers qui contribuent à l’alimentation des familles des producteurs de café. Cette complémentarité entre cultures de café et cultures vivrières assure la préservation de la biodiversité.
Situé dans le Terroir de Marcala, le groupement des petits producteurs de Comsa se compose de 800 membres environ, dont près de la moitié sont des femmes. C’est un modèle d’impact social, économique et écologique : un ancrage très fort dans la région pour permettre d’améliorer de façon continue les revenus des petits producteurs, la fabrication et l’utilisation massive d’engrais bio notamment à partir de la pulpe du caféier, un programme de recyclage des déchets pour les communautés des producteurs et alentours. Une école « alternative » a même été fondée pour les enfants des producteurs. Dès leurs plus jeune âge, ils y apprennent plusieurs langues et la pratique d’un instrument de musique.
Situé dans le haut Chiapas au Mexique, l’Union de Ejidos de San Fernando a été fondée en 1984 et regroupe 1400 membres issus des groupes indigènes Zoque et Zetil localisés dans les communautés de San Fernando et Ocozocautla. La coopérative intervient dans plusieurs domaines : tout d’abord environnementalement, avec un programme géré par 400 femmes dédié à la production et à la commercialisation de plantes médicinales et biologiques. D’un point de vue technique, elle forme ses membres grâce à l’aide de 15 techniciens agricoles. Socialement, un centre spécialisé pour les jeunes a été ouvert pour ceux qui souhaitent poursuivre leurs études.

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